La source occulte du nazisme: 1- gestation
Dans le perpétuel bras de fer auquel se livrent les forces contraires, celui qui oppose les notions de bien et de mal peut être considéré comme le plus important dans sa complexité.
Combien de fois le monde s'est-il retrouvé enlisé dans des marécages sanglants par la responsabilité de dictateurs pompeux aux appétits morbides ?
L' exemple le plus récent et représentatif (pas si sur...) reste L'abomination nazie : Le totalitarisme appliqué sur la discrimination raciale et la tentative de domination aryenne à l'échelle mondiale.
Il est cependant utile de préciser que le IIIème Reich s'est servit du fanatisme raciste pour mieux étendre son pouvoir, mais il ne l'a aucunement inventé.
Jusqu' à preuve du contraire, la boucherie "sang-os" dirige le règne animal et sa pseudo moralité depuis...une éternité.
De groupe à clan, de clan à village, de village à ville et de ville à pays, les hommes se sont toujours trucidés au prétexte de différences ethniques, culturelles, religieuses ou raciales... Peau de balle !!!
Des intellectuels (ben oui), depuis l'aube des temps, réussissent le tour de force à dresser les individus les uns contre les autres à leur profit !
Et c'est d'autant plus facile qu'ils bénéficient de la crédulité et de la fragilité de l'âme humaine sujette au doute, à la peur, et au désespoir dans lequel elle est plongée.
Le besoin irrésistible de respirer. Survivre jusqu'a l'égoïsme, au racisme, à la violence et plus si affinités.
Et là (miracle ?), débarque un nationalisme moderne exacerbé qui incite un peuple à croire en sa supériorité par la force... jusqu'à l'atrocité que l'on sait. Mais pourquoi tant de haine demande l'ingénu.
1 Gestation
Toute origine politique et idéologique a des racines, le national socialisme ne fait pas exception à la règle
. L' une d'entre elle mène dans un labyrinthe ésotérique proche de l'occulte voir de la magie noire.
Des croyances divulguées par des organisations clandestines de l'ordre des germains comme la Thulé Géselshaft, qui émerge en 1912 sous l'impulsion du baron Rudolph Von Sebottendorff.
Cet illuminé notoire revandiquait déjà en 1933 avoir semé ce que le fürher avait fait lever.
Réuni sous le double symbolisme de la croix gammée et du dieu Wotan (l'Odin scandinave), le groupe Thulé a servit de couveuse à une pelletée de nervis du parti nazi, à commencer par...Adolphe Hitler lui même, ainsi que le cynique (sic!) Rudolphe Hess.
Derrière la façade de son intense activité politique raciale, une rumeur circule selon laquelle l'organisation dissimulerait des pratiques nettement ésotériques...
Thulé, le nom même provient du mythe légendaire de la cité nordique divine, contrée fabuleuse que l'on pourrait rapprocher de l' Hyperborée citée à nombreuses reprises dans les textes grecs : la limite du monde de l'au-delà.
Nous verront plus loin que les sciences ésotériques ont réellement été étudiées par Hess, Himmler, Goebbels, liste non exhaustive.
Et ce non pas avec une curiosité superficielle mais avec la ferme intention d'utiliser concrètement ces connaissances dans le cadre mystique d'une doctrine qui se voulait une nouvelle révélation politico-religieuse : un prophétisme raciste bâtit autour d'un véritable détournement mythologique.
Pour mieux démêler cette ténébreuse affaire, penchons nous à nouveau sur le cas du baron Sebbotendorff.
Ce dernier, en dépit de ses instincts naturels bestiaux, est loin d'être un idiot. Né en Saxe en 1875, dans les environs de Dresde, il ressent très tôt une attirance vers le proche orient, où il joue un rôle important durant la guerre des Balkans (1912-1913) comme dirigeant du croissant rouge turc.
Initié à la maitrise de l'ordre du rosaire (rosenkreutz orden) par un marchant juif nommé Termudi, il se lance ensuite dans la pratique de l'ésotérisme mystico-religieux avec un bagage initiatique déjà bien rempli...
Proche du soufisme coranique, des derviches tourneurs turcs et des cabbalistes de tout poil, il accumulera suffisament de savoir pour rédiger en 1923 une importante étude sur la magie noire.
D'après lui, cette haute initiation est à la base de la franc maçonnerie orientale et constituait la racine de l' oeuvre alchimique des roses croix.
Son traité ne prête que peu d'attention aux considérations philosophiques propres aux croyances orientales. Il est strictement concret tout en faisant appelle à des passes manuelles vraisemblablement issues de rites mystiques orientaux.
Le baron désigne ces "exercices" comme empruntés à un type de yoga fondé sur la répétition de certaines syllabes associées à des signes et des mouvements des mains et des doigts portés à diverses parties du corps.
Des passes destinées à capter les radiation subtiles de l'énergie universelle afin de les intégrer au corps physique. A noter qu'une très forte concentration mentale est nécéssaire à la fois sur la prononciation des sons, des syllabes ainsi que sur les gestes.
En poursuivant plus en avant ces expériences, des phénomènes finissent par se produire sous forme d'odeurs, de saveurs subtiles, mais aussi de visions chromatiques (couleurs) :
"il est temps d'aiguiser le regard. Le disciple appercevra une ombre noire qui marque la fin de la première partie du travail.
Il reçoit alors son nom de loge (logername).
Au fur et à mesure, ces ombres hallucinatoires varient de couleur en élevant avec elles le taux vibratoire de l'apprenti"
Les initiés orientaux nommaient ces travaux d'ordre spirituel "la science de la clef" et se baptisaient eux-mêmes les "fils de la clef.
"une fois parvenu au terme de l'entrainement, nous sentons notre corps terrestre nous devenir de plus en plus étranger, jusqu'à croître au delà de lui; nous constatons distinctement qu'il est devenu poussière et cendres... nous réalisons la dissolution du moi physique ordinaire et la perception du moi subtil"
On retrouve effectivement dans ces techniques une certaine forme de bouddhisme
Cet irrésistible engouement pour la spiritualité mystique n'est pas le seul hobbi du sulfureux baron. Il véhicule avec lui une réputation d'astrologue confirmé puisqu' il dirigea par la suite, entouré de quelques pointures de la spécialité, la revue astrologique européenne la plus intéressante du moment.
Voilà peut-être la raison pour laquelle l'astrologie a toujours occupé une place prépondérante dans la doctrine hitlérienne.
Pour la petite histoire, il faut savoir que 2 horoscopes étaient soigneusement tenus à jour par le bureau d'étude d' Himmler : celui d' Hitler et celui de la république. Après avoir examiner les résultats de départ, la concordance s'avère frappante.
Les 2 thèmes astraux prédisent la guerre en 1939, des victoires jusqu'en 41 suivies d'une série de défaites accompagnées des pires désastres, puis devait finalement arriver la victoire allemande finale avant une paix définitive.
En fait, sous l'influence d'un Himmler proche de l'hystérie mystique, le calcul des thèmes astraux était surtout destiné à définir des moments propices pour prendre des initiatives sur les plans politiques et militaires, selon une tradition arabe très ancienne appelée "les moments d'élections".
L'instruction et les croyances du groupe Thulé se sont donc bien propagées dans les plus hautes sphères du régime national socialiste...
Mais ce n'est pas le seul lègue du baron Von Sebbotendorf au parti nazi, car, dès l'apparition du groupe Thulé, sa passion pour le paranormal n'a d'égal que son intransigeance raciale et sa haine des juifs.
Le 9 novembre 1918, dans un discours prononcé devant ses fréres et soeurs des loges racistes, il annonce l'époque de l'affrontement décisif contre la race juive : "j'ai l'intention d'engager la Thulé dans ce combat aussi longtemps que je tiendrai le marteau de fer. Notre dieu est celui du combat et sa rune est celle de l'aigle qui est le symbole des aryens".
A noter que la croix gammée (hackenkreutz) ou croix cramponnée peut signifier grappin ou rapt, évoquant les serres de l'oiseau de proie qui agrippe sa victime.
L'idée originelle était la création d'un ordre politique raciste et religieux, calqué sur un modèle de prophétisme armé à l'images des célèbres assassins ismaéliens du vieux de la montagne pendant les croisades.
Il fallait pour celà dénicher l'oiseau rare qui ferait office de catalyseur au sein de la confrérie, le noyau qui les lieraient tous : un guide spirituel divinisé !
Parallèlement à ses manoeuvres politiques et mystiques l'organisation menait évidemment des activités militaires très poussées à l'aide de matériel sophistiqué (le baron finançait avec largesse la recherche en armement).
Des écoles de formation fleurirent un peu partout dans le pays, ces centres de l'enfer l'historien belge Raymond Petit-frère en a donné les détails suivants :
"Les initiés avaient leurs dortoirs, leurs réfectoires, salles de chapitre, cloîtres de méditation et cimetierre privé.
La vie y était extrèmement dure avec 4 heures par jour d'exercices physiques intensifs d'une violence inouïe. Parfois s'y tenaient des claustrations absolues d'une semaine : éducation spirituelle et concentration mentale.
On y apprenait aux participants à adorer un homme, à haïr la pitié et à mourir pour une idée."
En réalité les épreuves relevaient plus des jeux romains que de l'entrainement militaire, jugez-en plutôt :
Résister 12 minutes torse nu et désarmé à l'attaque de molosses déchainés. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, les chiens reculaient souvent devant l'agressivité et la férocité du candidat.
Le panzertest ou comment creuser son trou en moins de 80 secondes pour échapper aux chenilles des chars... le peloton d'exécution en cas d'abandon.
Ou encore Guillaume Tell version explosive quand l'éventuelle future recrue devait arriver à faire tenir en équilibre sur son casque une grenade préalablement dégoupillée. Celle-ci correctement placée le choc était violent mais sans danger grave et l'élève reçu avec mention, sinon c'était au mieux l'invalidité garantie et toujours l'exécution en cas de renoncement...
Pour contrôler l'influx nerveux et émotionnel, l'épreuve du chat consistait à lui arracher les yeux à l'aide d'une petite cuiller sans les abîmer et sans tuer l'animal. Chaque candidat disposant de trois chat pour prouver son indifférence émotive totale devant la douleur animale et le cas échéant humaine...
La première année d'instruction se soldait souvent par un taux de mortalité qui avoisinait parfois les 40% sur l'ensemble des recrues. On en comprend sans peine les raisons.
Initiation ésotérique, entrainement militaire surintensif, gnose mythologique raciste, la Thulé avait l'intention de faire revivre le principe chevaleresque de l'ordre teutonique et d'une certaine idée de la quête du graal. Fusionné à une salade de de légendes nordique, on obtenait alors la vision d'un illuminisme pangermanique qui allait subjuguer tout un peuple.
L'apparition d'Adolphe Hitler aurait donc été soigneusement préparée d'après la croyance en une entité anti-messianique : "si sur ton chemin tu rencontres le Christ et qu'il s'oppose à ton dessein, tues le !"...
2 Le prophète du mal
Individu nerveux à tendance dépressive, doté d'une personnalité magnétique, le futur furher représente l'incarnation idéale du canal médiumnique tel que se le représente le baron. Hitler devient alors le canal médiumnique tant attendu : l'initié prioritaire.
Le résultat s'avère stupéfiant de réalisme, dépassant les pires rêves de ces fous. Hitler progresse rapidement dans sa nouvelle fonction de guide du peuple. Ses discours arrangés en superproduction théatrales mettent en valeur sa puissance oratoire.
Il donnait vraiment l'impression de décharger toute son énergie sur un auditoire complêtement réceptif :
Intonations de la voix parfaitement contrôlées, débit de la parole alternant entre rythmes lents et rapides, tantôt calme, tantôt convulsif, ses discours s'accompagnaient en plus de tensions physiques et de signes des doigts analogues à ceux préconisés par Sebbotendorff dans ses exercices ésotériques.
Les meeting politiques prenaient alors des allures de séances de chamanisme...
De tout évidence, Hitler était un faux prophète mais assurément un véritable médium. La déshydratation qui l'obligeait à boire ses 4 bouteilles d'eau par séance lui faisant perdre plusieurs kilos est du reste un phénomène médiumnique très courant, relatif aux états de transe et de dédoublement de la
personnalité.
Nombreux sont les rapports qui en font l'écho, ne laissant planer aucun doute à ce sujet.
D'après le témoignage authentique d'une secrétaire qui resta 12 ans à son service, la préparation des états de transe oratoire du chancelier nazi était on ne peut plus significative. Il paraissait entrer en contact avec ses sources d'inspiration d'une manière analogue à celle d'un sujet médiumnique qui interroge ses guides invisibles :
"Dès qu'il avait arrêté les grandes lignes de son discours, une sonnerie impérieuse m'appelait. Quand je pénétrais dans son bureau, je le trouvais marchant nerveusement de long en large. De temps à autre, il s'arrêtait devant un portrait de Bismark qu'il regardait, les yeux rêveurs comme en prière, il donnait l'impression d'implorer le chancelier de fer afin d'être inspiré de son expérience des affaires d'état.
D'un mouvement irréfléchi de somnambule, il il allait d'un meuble à l'autre pour rectifier l'emplacement des miniatures qui les encombraient. Puis il se mettait à parcourir la pièce d'un pas hatif pour s'arrêter subitement comme frappé de paralysie...
Il ne me regardait toujours pas. Enfin il commençait à dicter. Au début, le débit et la voix étaient normaux, mais au fur et à mesure que ses pensées se développaient, la cadence s'accélérait.
Les phrases se suivaient sans arrêt, scandées par ses pas de plus en plus rapides autour de la pièce.
Bientôt les paroles se heurtaient et la voix s'enflait. Hitler dictait son texte avec le même emportement passionné qu'il devait le prononcer, le lendemain, devant son auditoire.
Quand il décidait de donner libre cours à son émotion, il cessait à nouveau de marcher et ses yeux fixaient au plafond un point invisible d'où il semblait attendre une grâce spéciale".
Un autre témoignage permet d'éclairer, aux yeux des historiens, la personnalité psychologique du führer, celui du docteur Ernst Sedwick Hanfstaengl :
"On a généralement tendance à oublier en portant un jugement sur Hitler, que son tempérament n'entrait dans aucune catégorie établie par Albrecht Dürer : ni sanguin, ni colérique, ni mélancolique, ni flegmatique. c'était plutôt une sorte de médium capable de faire siennes et d'exprimer les craintes, les ambitions, et les émotions de la nation allemande toute entière. Aucun trait de son caractère n'était assez affirmé pour qu'il fut possible de l'influencer en exploitant ses points faibles.
Il pouvait se morfondre des heures durant en se rongeant les ongles, en regardant dans le vide d'un air morne et, parfois en sifflotant, mais il suffisait qu'apparut une personne digne de son intérêt, pour qu'on le vit aussitôt mobiliser toutes ses ressources intellectuelles.
Il jaugeait alors son interlocuteur, repérait sa longueur d'onde, devinait ses aspirations et ses émotions les plus secrètes. La conversation, dès lors, s'annimait; et son partenaire, littéralement fasciné, se persuadait qu' Hitler recelait des trésors de sympathie et de compréhension....
Jamais je n'ai rencontré d'hommes ou de femmes doués d'un tel pouvoir de persuasion. Il était quasiment impossible de ne pas tomber sous son emprise. Ses dons médiumniques semblaient aussi bien agir sur un hindou que sur un touareg.
Une fois devenu chancelier, il crut pouvoir dominer la nation et il y parvint effectivement durant plusieurs années. Son échec final tient à ce que le reste du monde demeurait insensible à son magnétisme."
De nombreuses autres dépositions sont sans équivoque, et décrivent avec précision les états maladifs morbides par lesquels il passait (aux limites du dédoublement de la personnalité).
Un de ses proches, Herman Raushning raconte les crises de folie insomniaques qui le perturbaient :
"Hitler était debout dans sa chambre, chancelant, regardant autour de lui d'un air égaré : "c'est lui ! C'est lui ! Il est venu ici !" Gémissait-il. Ses lèvres étaient bleues, la sueur ruisselait sur son front à grosses gouttes. Subitement, il prononçait des chiffres sans aucun sens, puis des mots, des bribes de phrases.
C'était effroyable. Il employait des termes bizarrement assemblés tout à fait étranges...
Puis plus rien, il redevenait silencieux, mais en continuant de remuer les lèvres. On le frictionnait, on lui donnait une boisson.
Soudain, il rugissait comme un fauve : " Là ! Là ! Dans le coin ! Qui est là ?"
Il frappait du pied le parquet et hurlait. On le rassurait, lui disant qu'il n'y avait strictement rien et il se calmait peu à peu. Ensuite, il se reposait de longues heures, avant de redevenir supportable pour quelques temps..."
Des crises similaires affectaient le comportement mental de Rudolphe Hess qui, après de multiples examens psychiatriques, avait finalement été déclaré saint d'esprit !!!
C'est un fait qu'ils ont tous les deux été victimes d'hallucinations et de perceptions étranges. Ces délires sensitifs avaient-ils une quelconque relation avec les enseignements occultes du groupe Thulé ?
Dietricht Eckart, écrivain célèbre, professeur de lettre et membre de l'organisation depuis son origine apporte un argument supplémentaire à cette théorie losqu'il révèle :
"Suivez Hitler ! Il sera le danseur, mais c'est moi qui ai composé le balais ! Je l'ai initié à la doctrine secrète, j'ai ouvert ses centres de vision et lui ai donné les moyens dfe communiquer avec les puissances. Ne me pleurer pas, j'aurai plus influencé l'histoire que nul autre allemand."
En ce sens, d'après l'écrivain Paul Mariel, c'est bien Eckart qui fut l'initiateur privilégié d' Hitler et participa au même titre que Hess à le faire entrer dans la société secrète en 1924.
L'intéressé n'a d'ailleurs jamais hésité à dévoiler la nature manifestement inspirée de sa vocation :
" L'organistion hiérarchique et l'initiation par des rites symboliques, c'est à dire sans faire intervenir le raisonnement mais plutôt l'imagination grâce aux symboles d'un culte, tout celà est un domaine dangereux que j'ai appris à maitriser. Un ordre voilà ce qu'il nous faut, l'ordre hiérarchique d'une prêtrise séculaire." (Adolphe Hitler)
Après avoir pris connaissance de tels propos, on peut légitimement se poser une question : quelle a été la part exacte de responsabilité d' une éventuelle influence occulte dans l'expension du phénomène nazi ?
L' Allemagne hitlérienne a t-elle vraiment failli aboutir dans son sinistre dessein de conquête du monde en tentant de manipuler et de dominer des forces d'énergie imperceptibles au commun des mortels ?
Ce qui est sur c'est que, sous la férule du 3ème Reich, certains savants parmi les plus éminents de l' époque (combien ont rejoint les alliés ?) se sont entièrement investis dans la recherche des sciences parallèles, ésotériques, ainsi que dans le décryptage mythologique...
L'histoire de la lance de Longinus (sensée avoir percé le flanc du Christ) réquisitionnée et précieusement conservée sur ordre d' Hitler, est suffisament célèbre pour que l'on ne s'y attarde pas. (Mieux vaudrait-il évoquer les expéditions nazies, en Ariège au début des années 30, à la poursuite des cathares et du graal...on verra ça plus tard...)
Ce genre d'anecdote est la preuve de l'importance, que l'on y soit sensible ou non, de la mystique ésotérique et du pouvoir des symboles.
Quand ce genre de croyance est acceptée par des individus dénués de scrupules, le destin peut basculer...
A l'aube d'un 3ème millénaire qui s'annonce mouvementé, il serait peut-être utile pour l'avenir d'analyser en profondeur les causes du conflit le plus destructeur du siècle dernier, en évitant, si possible, de négliger des éléments trop souvent restés dans l'ombre : ces "petits détails" qui, comme les rivières coulent vers la mer, font parfois les grandes conséquences et se révèlent indispensables à toute reconstitution historique minutieuse.
Ahaw.
" Les dictateurs, quelque soit la durée de leur règne, finissent toujours par tomber..." (Mahatma Gandhi)